vendredi 18 décembre 2009

J'ai découvert : les couches lavables

(petit chapitre introductif destiné à celles et ceux qui n'y connaissent rien, avant d'aborder les différentes marques de couches qui passent entre mes mains... et sur les fesses d'Elliott !)

Il y a un petit peu plus d'un an, quand mon chéri me parlait pour la première fois de couches lavables, qu'une de ses amies venait d'adopter pour sa fille, je lui répondais (je m'entends encore !) : "ah,  mais c'est dégueulasse !" (Je voyais ça comme quelque chose de pas hygiénique du tout ; depuis, j'ai appris à désinfecter mes couches...). Puis, comme je ne voulais pas en entendre parler, il n'a pas cherché à insister d'avantage. Mais n'allez pas croire qu'il avait lâché l'affaire...

Mon chéri ne se laisse JAMAIS impressionner par mes premiers refus. Il SAIT me convaincre, non pas en me bassinant avec le même refrain matin et soir, mais en m'apportant des arguments concrêts, valables, qu'il saura être capables d'infléchir mon jugement.
Exemple : l'argument "une super copine à moi qui fait tout trop bien en utilise" N'EST PAS un argument recevable - ça peut même jouer en défaveur de la cause ; mais l'argument "ton bébé aura moins de risques de faire des érythèmes" EST un argument !

Donc, mon chéri, mine de rien, m'a envoyé quelques informations, juste comme ça, au sujet des couches lavables et de leurs avantages sur les jetables. Et non seulement il a su me convaincre, mais en plus j'ai moi-même cherché à en savoir plus, beaucoup plus, toujours plus, et je suis maintenant une fervente défenseure des couches lavables, membre de l'Association pour la Promotion des Couches Lavables Bulle de Coton - c'est dire !

***

Je n'ai pas la prétention de faire ici une présentation exhaustive du produit, mais au moins, d'ouvrir le sujet (voire le débat, le cas échéant) en passant en revue rapidement ce qui fait qu'aujourd'hui, je ne reviendrais pas à des Pampers.
En comparaison avec des jetables, les lavables sont (au moins) trois fois "plus" : plus écologiques, plus économiques, plus saines (et on pourrait aller jusqu'à 4 ou 5 avec "plus mode" et "plus fun" !).

Plus écologiques : leurs procédés de fabrication "pompent" moins les ressources de la planète (en nécessitant 200 fois moins d'eau et d'énergie, entre autres) ; en outre, on utilise une vingtaine de couches lavables de la naissance à la propreté, contre plusieurs milliers de jetables, dont les matières plastiques représentent une tasse de pétrole par couche (à votre santé !). Plus écologiques aussi parce qu'elles ne génèrent pas de déchets : les déjections sont mises aux toilettes (ou compostées), et les couches lavées. Après utilisation, elles peuvent être revendues ou recyclées en chiffons...
Parallèlement, on estime à 1 tonne la quantité de déchets générés par les couches d'un bb, de la naissance à la propreté... C'en est au point que certaines communes de Belgique versent une sorte de "prime" (d'une centaine d'euros) aux parents qui utilisent les lavables, prime qui revient moins cher à la commune que le coût du traitement des déchets !

Plus économiques pour cette raison de quantité : une vingtaine de couches suffisent pour "habiller" les fesses de bb de la naissance à la propreté. C'est donc un investissement de départ, rentabilisé sur la durée, d'autant que les lavables peuvent servir à nouveau pour un deuxième voire un troisième enfant. Le budget couches, lorsqu'on achète des jetables, saute moins aux yeux car il s'inscrit dans le budget "courses du samedi", mais si on fait le compte, il est ENORME.
Je ne vais pas passer en revue tous les chiffres, mais à titre d'exemple, Elliott avait dans son trousseau de départ 10 couches Easybio (de marque Babyinstinct) à 9,5€ l'unité et 10 couches Ultrafit (de marque Popolini) à 14,50€ l'unité (achetées par 10, elles revenaient moins cher), ainsi que 4 sur-culottes Piwapee à environ 16€ l'unité. Soit un total de 304€, auquel il faudrait ajouter le papier de protection (un rouleau de 100 feuilles épaisses, parce que bb est allaité, pour environ 5,50€, à renouveler après épuisement au bout d'un bon mois et demi au début, un peu moins souvent maintenant - il faut savoir que le feuillet se lave et se réutilise s'il n'est pas souillé par les selles), papier que j'ai finalement remplacé par un lot de 10 voiles en polaire (donc lavables eux aussi, et réutilisables autant que les couches) à 18€, et le coût des lessives (difficile à calculer dans la mesure où les couches peuvent être lavées avec le linge de bb, donc venir compléter une machine qui aurait tourné à moitié vide...). Si je n'étais devenue une nappies-addict, le budget "couches" aurait été bouclé là (il aurait juste fallu racheter 4 culottes de protection 8-15kg).
Maintenant, si j'avais acheté des couches jetables, ç'aurait été des Pampers, à environ 35 centimes l'unité, et il m'en aurait fallu en moyenne... 6000 !!! (à raison d'environ 7 changes par jour jusqu'à 1 an et 5 changes par jour jusqu'à 2 ans 1/2). Soit un impact financier de 2100€ !

Plus saines aussi, car fabriquées dans des matières naturelles (du coton - bio, c'est encore mieux ! - du chanvre, du bambou) et dépourvues de produits chimiques. Ce qui rassure, quand on considère que c'est en contact permanent avec la peau de bb.

A l'inverse, la composition des jetables n'est pas "transparente", mais de nombreux produits toxiques ont déjà été trouvés (et certains retirés). D'autres, comme le polyacrylate de sodium réticulé (substance extraordinaire qui a la capacité d'absorber jusqu'à 800 fois son volume en eau en se transformant en gel), sont reconnus comme hautement dangereux s'ils entrent en contact avec les muqueuses (le polyacrylate de sodium a été retiré des tampons périodiques en 1985, parce responsable de chocs toxiques). Je passe sur le blanchiment au chlore du voile en contact avec la peau... Et sur la parfaite étanchéité destinée à venir à bout des "fuites", qui empêche la peau de respirer et conduit à une élévation de la température des testicules et du scrotum des petits garçons (ce qui peut générer des problèmes pour la spermatogénèse future)...

Bon, je voudrais finir sur une note plus positive tout de même : le côté plus "mode" et plus "fun" de la couche lavable. Et oui ! Qui eût cru qu'on pouvait prendre du plaisir à choisir des couches (puis les mettre !) à son bb ? Et encore, je trouve qu'il existe beaucoup plus de modèles "fille" que de modèles "garçon" ! Sans compter les "modèles uniques", cousus avec soin et amour par des mamans bien moins empotées que moi : de véritables œuvres d'art, voire même des vêtements à part entière ! Qu'est-ce qu'on est fier d'en tenir une... couche !!!

Et en exclusivité mondiale et pour le web : les fesses de mon homme !


Bibliographie : parmi mes nombreuses lectures sur le web et ailleurs au sujet des couches lavables, l'ouvrage le plus complet est sans doute le guide "Les couches lavables et autres alternatives aux couches jetables", ouvrage collectif sous la direction de Carine Phung, paru aux éditions Grandir Autrement

mercredi 9 décembre 2009

J'ai lu pour vous : "Partager le sommeil de son enfant", de Claude-Suzanne Didierjean-Jouveau

Elliott, trois mois, super téteur de jour comme de nuit, a pris le pli de dormir... contre moi, le plus naturellement du monde. On a commencé à la maternité, autant pour se réchauffer que pour faciliter l'allaitement, et on a continué tranquillement, de retour à la maison, car c'était le meilleur moyen pour moi de me reposer : j'étais tout de suite là pour répondre à ses besoins (alimentaires, essentiellement), donc pas de cris inutiles au milieu de la nuit, au risque de réveiller toute la maison, pas de course effrénée dans les escaliers, au risque de louper une marche, pas de baby-phone à balader en permanence dans un rayon de 30 mètres, au risque de capter le réseau de celui des voisins (si si, j'vous jure, c'est possible : ça m'est déjà arrivé).

Aujourd'hui encore, à presque trois mois, Elliott fait ses siestes dans mes bras (ou dans l'écharpe), et dort le nez collé contre ma peau. Le seul changement que j'y ai vu, c'est qu'il est passé de "sur moi" à "contre moi" - ce qui, vu de l'extérieur, n'est rien, mais de mon point de vue marque une évolution, ne serait-ce que sur le plan de mon propre confort (dormir allongée à plat est quand même plus reposant que la tête dans le mur, calée tant bien que mal avec trois oreillers).

Mais "vue de l'extérieur", précisément, cette pratique dérange, quelle qu'en soit la raison (risque d'étouffement, ou surtout, risque "d'en faire un capricieux", un enfant gâté) : réactions semi-horrifiées de type "Il dort avec vous ????" (beurk c'est dégoutant !), prédictions catastrophiques ("oh mais c'est mauvais qu'il soit tout le temps sur vous, comment vous ferez quand il aura 18 ans ?"), et autres remarques en demi-teinte jonchent ces trois mois de cododo (néologisme français en traduction directe du co-sleeping anglais).
Malgré un certain flegme et une assez bonne imperméabilité à ce genre de remarques, un doute a fini par s'immiscer dans mon esprit : et si, effectivement, cette "pratique" (qui m'est venue le plus naturellement du monde, parce que j'étais à l'écoute de mon bébé et non de mes livres de puériculture) mettait en danger mon bébé ? Quelles séquelles - a priori graves - risquais-je de laisser à mon fils ?

D'où l'achat de ce livre*. Que je savais, plus ou moins, qu'il me rassurerait (ben oui, j'avais quand même lu la quatrième de couverture avant de l'acheter !) - sans cependant soupçonner à quel point il allait me conforter dans mes choix de maternage. On y apprend d'abord à quel point nos attentes en matière de sommeil de bébé sont irréalistes ; on y apprend ensuite que le cododo est une pratique universelle, répandue à travers le monde (et même dans des civilisations "développées" - oui, oui, parce que j'entends d'ici vos réflexions, que c'est une pratique de sauvages), y compris en France, mais on s'en cache !! On y apprend enfin les bénéfices du sommeil partagé, les différentes modalités de mise en œuvre et les réponses à faire aux réflexions désobligeantes les plus courantes... Et qu'à 18 ans, avec ou sans cododo, les enfants aspirent tous à la liberté !

Pour 4,90€, Claude-Suzanne Didierjean-Jouveau nous livre avec efficacité des informations assez passionnantes sur le sommeil des bébés. C'est un ouvrage court (lu en 2 heures environ) qui ne se veut pas exhaustif mais qui apporte des réponses aux parents qui se sentiraient coupables de pratiquer le cododo avec leur enfant. Je serais tentée de le conseiller aussi à ceux qui sont a priori "contre" le cododo, pour les aider à accepter des pratiques qui ne sont ni meilleures ni plus mauvaises, mais seulement différentes de celles qu'ils ont eux-même adoptées (ou à celles qu'ils adopteraient) pour élever leurs enfants.

NDLR : ma fille aînée (6 ans 1/2), qui n'a JAMAIS bénéficié du sommeil partagé après les 5 jours passés à la maternité m'a réveillée toutes les nuits (et jusqu'à 5 ou 6 fois par nuit !) jusqu'à 5 ans passés (et ça lui arrive encore occasionnellement, comme cette nuit par exemple), a peur du noir et a une forte propension à être capricieuse... Sans chercher à faire des syllogismes, je me dis que le "résultat" ne peut pas être pire avec un enfant cododoté !

* Partager le sommeil de son enfant, Claude-Suzanne Didierjean-Jouveau, éditions Jouvence, 2005.

lundi 30 novembre 2009

J'ai testé pour vous : le liniment oléo-calcaire


A base d'huile végétale ("oléo") et d'hydroxyde de calcium ("calcaire") pour justifier son nom, ce liniment (du latin linire = oindre) s'utilise, entre autres, pour nettoyer les fesses de bébé. Traditionnellement composé d'huile d'olive, on peut apparemment le décliner avec n'importe quelle autre huile végétale (et éventuellement même, y ajouter quelques gouttes d'huiles essentielles, comme la lavande, cicatrisante)... Il purifie tout en laissant un film protecteur qui va nourrir et protéger la peau fragile de bébé. Bref, c'est ma potion magique contre les érythèmes fessiers... et ça marche ! Onze semaines qu'on n'utilise que ça pour Elliott, pas d'eau, pas de crèmes de quoi que ce soit, et il a des petites fesses ni-ckel !!!

Le liniment peut aussi s'employer sur les croûtes de lait des nourrissons ou encore sur les parties sèches du corps de bébé (et pas que de bébé, mais il ne faut pas trop craindre alors, de sentir l'huile d'olive !).
Il paraît que c'est aussi une préparation excellente en tant que démaquillant, mais ça, je ne peux pas en attester : je ne me démaquille pas !



Pas encore testée, bien que ça ne saurait tarder : la "recette" du liniment, puisque ça ne présente pas vraiment de difficulté (si ce n'est qu'il faut avoir les deux mains libres !) : il suffit de mélanger 50% d'huile d'olive avec 50% d'eau de chaux, et le tour est joué. Le mélange, en revanche, est susceptible de se déphaser (il faut donc bien mélanger avant usage). La cire d'abeille peut être utilisée comme stabilisant. J'ai tous les ingrédients à la maison (huile d'olive bio première pression à froid achetée en promo à l'épicerie bio du coin, eau de chaux tout droit sortie de la pharmacie, et cire d'abeille trouvée à l'épicerie sus-citée, mais il a fallu que je la demande au monsieur parce que je n'arrivais pas à la trouver toute seule...). Je vous en donne des nouvelles dès que le test est réalisé, car s'il est concluant, il peut permettre de faire quelques économies (environ 2€ par bouteille de 500ml, à raison d'une bouteille par mois...) !

mardi 24 novembre 2009

J'ai découvert : Signe Avec Moi

Non, je ne suis pas promoteur immobilier.
Et non, le titre ne cache pas une incitation au mariage (encore que !!!).

D'ailleurs, la première fois que j'ai lu dans un magazine "signez-vous avec vos enfants ?", je me suis vraiment demandé de quoi il retournait. Dans mon vocabulaire, "signer" sort deux fois : en synonyme de parapher, et en verbe pronominal, pour faire le signe de la croix. C'était se montrer sourde à un autre langage...

Signe Avec Moi, c'est avant tout un concept selon lequel les enfants sont capables de communiquer avec les gestes bien avant de pouvoir le faire verbalement, à l'aide de la parole. Si l'on est un tantinet à l'écoute de son enfant, on sait quand il cherche à nous dire quelque chose ; mais tant que les mots lui manquent, on a parfois du mal à se comprendre. Et bien, avec Signe Avec Moi, on tend à lever les ambiguïtés en "enseignant" progressivement à l'enfant des mots dans la Langue des Signes Française (LSF) : j'ai faim, j'ai soif, j'ai froid ou j'ai sommeil... un câlin, téter, dormir...
L'expérience peut apparemment débuter dès que l'enfant est capable de désigner un objet (soit environ 6 mois, alors qu'il attendra encore un an pour parler !) - et se poursuivre bien après l'acquisition du langage !

Pour moi, ce concept est vraiment nouveau (lu il y a moins de deux semaines, compris il y a une dizaine de jours, et mes recherches sont en cours !) : je ne sais pas encore bien qu'en penser et surtout, ce que j'en ferai d'ici quelques mois. L'idée est séduisante, mais cela ne retarde-t-il pas, du coup, l'acquisition de la parole ?
Affaire à suivre, donc... Je vous tiens au courant !!

lundi 23 novembre 2009

J'ai lu pour vous : un article qui m'a fait bondir/hurler/froid dans le dos... (oui, tout ça à la fois)

Ce n'était pas du tout par là que je voulais commencer. J'avais planifié quelques articles sur le maternage proximal, le cododo ou les couches lavables. Mais quand j'ai lu "ça", samedi, je me suis dit : faut que ça sorte !..

Un samedi matin comme les autres, j'allume mon pc, je relève mon courrier : lettre d'informations de notre-planète.info - et oui, l'écologie ça nous travaille, et quand on commence à se renseigner un peu, on finit par s'en inquiéter beaucoup. Je survole les titres des articles, et en voilà un qui m'interpelle : Moins de naissances, moins d'émissions de CO2 : l'ONU enfin éco-malthusienne ?  Bon, moi, je suis nouvelle dans le domaine (néo-écolo en somme), alors je ne connais pas (encore) Malthus sur le bout des doigts (ça viendra peut-être !). Mais cette idée de limiter les naissances me fait froncer les sourcils et je m'en vais voir d'un peu plus près de quoi il retourne...

[là, je vous laisse le temps d'aller lire, par vous-même, cet article au style philosophico-pédant assez insupportable mais qui développe des idées qui se sont avérées être, pour moi, très urticantes....]


Waouw. Même si je ne comprends pas bien toutes les tournures de phrases parce que Monsieur Tarrier* aime bien jouer sur les mots compliqués histoire de noyer son lectorat en lui faisant croire qu'il est inculte (notez quand même que je suis littéraire, à la base...), je saisis l'essentiel du message (qui, notons-le en passant, n'a plus grand chose à voir avec l'ONU mais bon tant pis) : faire des enfants est un crime écologique, à défaut de tuer ceux qu'on a déjà, arrêtons d'en faire. Gloups. Moi qui viens de mettre au monde mon troisième enfant... Moi qui suis la troisième enfant sur quatre... Moi dont le chéri est le deuxième sur quatre... Le simple mot "dénatalité" me fait froid dans le dos. Dénataliste, lui, me fait vomir (surtout s'il est lui-même auteur de deux enfants... pardonnez du peu, mais c'est un peu faites-ce-que-je-dis-pas-ce-que-je-fais, tout de même !).

Bref, ça m'a fait froid dans le dos, car je ne suis pas certaine que ce soit mes trois enfants - ou ceux de ma voisine - qui détruisent le plus les ressources de notre planète. Surtout que les nôtres (d'enfants), ils savent déjà trier leurs déchets ou éteindre la lumière quand ils quittent une pièce (enfin, en théorie, parce qu'en pratique ça ne marche pas toujours). Alors oui, plus on sera nombreux sur terre, plus les ressources vont manquer, mais peut-être faudrait-il attaquer le problème d'un autre bord que celui de la natalité. Je ne suis pas sûre de vouloir entrer dans le débat d'idées, car ça pourrait me tourner les sangs et nuire à mon allaitement... mais je voulais juste vous dire, si vous ne le saviez pas, qu'il existe encore (ou toujours) des gens qui développent des idées tordues (non sans rappeler certaines théories plus anciennes sur la pureté de race) et qu'on trouve dans leur sillon des tas d'autres personnes pour y dire Amen. Je ne sais pas qui des premiers ou des seconds je crains le plus, mais après toutes ces lectures (commentaires des articles compris !), je me suis dit qu'il allait peut-être falloir que je rase les murs, maintenant, à chaque fois que je promènerai ma progéniture...

*ce monsieur a sans doute écrit d'autres choses ; pour ma part, je ne suis tombée que sur "Faire des enfants tue", une chute douloureuse, croyez-moi, et qui fait tomber de d'autant plus haut qu'il y a d'adeptes de la théorie...

NB : je ne voulais en aucun cas faire de la publicité à ce monsieur, mais force était de créer des liens vers ses articles pour nourrir mon propos (car je ne voulais pas non plus trop me salir les mains en citations : après, les moteurs de recherche vont m'amener des lecteurs pas fréquentables, alors non merci. A cette fin, je ne créerai pas de libellé "dénatalité"...).

vendredi 20 novembre 2009

Les bras chargés de colis

Non, ce n'était pas le Père Noël, mais juste le facteur, venu me livrer ce matin les 3 colis que j'avais commandés. Dedans, des livres, des couches lavables, des coussinets d'allaitement, des couches jetables écologiques et bien d'autres choses encore... de quoi remplir les colonnes de ce blog un paquet de jours ! Car voilà, ce sera ça, ce blog : un grand bric à brac de tout ce qui alimente mes journées depuis deux mois déjà (un peu plus, même, mais tout à pris vie à la naissance d'Elliott).
D'aucuns comprendront pourquoi l'appareil photo est resté au vestiaire jusque là...

Avant de commencer

Voilà, ça y est, c'est le lancement officiel de 100% fibre naturelle, le blog qui laissera s'exprimer le côté "naturel" de ma fibre maternelle : tout nouveau, tout bio, écolo, rigolo...

Bon, en revanche, je ne suis pas au point sur l'interface html du lieu. Comme toute consommatrice lambda de blogs, j'ai téléchargé ce template qui me plaisait, mais me voilà maintenant bien incapable de le personnaliser ! J'en appelle donc soit à votre patience, soit à votre aide et dans tous les cas à votre indulgence, le temps que je dompte la bête, considérant aussi que je suis actuellement atteinte du SNU (Syndrôme du Neurone Unique) pour cause de nuits en pointillés !